Les performances passées ne sont pas un indicateur des résultats futurs.
En 2010, le courtier eToro bouscule les codes du trading en inventant le trading social.
Il faut dire que jusqu’à cette date, le trading était plutôt une activité de loup solitaire qu’une aventure collective…
Sur le papier, le principe paraît séduisant : copier les meilleurs traders en un clic pour ensuite gagner de l’argent sans rien faire, si ce n’est jeter un coup d’oeil aux résultats de temps en temps.
Pourtant, si gagner de l’argent était facile, cela se saurait depuis longtemps !
C’est pourquoi le trading social est attaqué de toute part, son principal reproche étant d’être un miroir aux alouettes.
Mais au-delà de cette lecture rapide, vous savez que nous aimons bien comprendre le fond des choses.
C’est pourquoi nous vous proposons une analyse détaillée du trading social. Forces et faiblesses, rien ne vous sera passé sous silence !

Exemple de trading social
Ne tournons pas autour du pot.
Mis à part ZuluTrade à la notoriété bien moindre et Admirals au service assez austère, le trading social est une caractéristique distinctive du courtier eToro.
Après connexion à la plateforme, un clic sur l’onglet “Personnes” permet d’arriver à la page suivante :

Les performances passées ne sont pas un indicateur des résultats futurs. L’historique de trading présenté a moins de 5 ans et n’est pas suffisant pour servir de base à une décision d’investissement.
Pour quiconque est un peu habitué aux plateformes de trading, ce genre de design épuré tranche énormément.
Mais l’autre élément qui saute aux yeux est le nombre de rendements positifs : + 21,35%, +12,91%, + 87,42%, etc…
On a l’impression de se retrouver face à un supermarché avec les meilleurs traders en rayon.
Pourtant, quel serait l’intérêt pour un tel trader de partager ses secrets ?
Dans notre quête du meilleur trader, nous décidons de choisir celui avec la meilleure performance sur la plus longue durée.
La première déception concerne “l’historique” disponible, puisqu’il est limité à deux ans, ce qui n’est pas énorme.

Et hasard ou coïncidence, nous retombons sur Richardstroud qui était déjà sur la page d’acceuil en tant que trader le plus copié.
Les performances passées ne sont pas un indicateur des résultats futurs.
A priori, nous ne sommes donc pas les seuls à avoir eu la même idée !
En cliquant sur sa fiche, nous apprenons qu’il s’agit d’une célébrité à l’échelle de la plateforme avec 11 411 copieurs et 64 710 suiveurs.

Et avec un actif sous gestion de 5 millions de dollars, on se rend vite compte que les montants sont à prendre très au sérieux :

Mais concrètement, que signifie copier Richardstroud ?
Dans le jargon de la plateforme, cela veut dire que l’on souhaite répliquer les variations du portefeuille de Richardstroud.
Par exemple, si on y consacre 1 000$, cette somme sera bloquée exactement comme pour n’importe quel fonds d’investissement au sein d’une assurance vie.
A deux différences de taille cependant :
- Pour le trader, copier un portefeuille est gratuit, tandis que les fonds d’investissement classiques prélèvent des frais de gestion annuels
- Un clic suffit pour investir ou se désinvestir de n’importe quel portefeuille, contre plusieurs jours généralement au sein des assurances vie
Mais attention.
Le trading social (ou copy trading) n’est pas 100% gratuit dans la mesure où les frais de transaction sont toujours dus.
Par exemple, avec Richardstroud, nous savons que celui-ci privilégie un nombre de trades assez bas pour une durée de détention assez longue.

Cela veut dire que lorsque Richardstroud réalise une transaction, par exemple acheter 1,25% d’actions Apple dans son portefeuille, les tarifs normaux d’eToro vont s’appliquer.
D’un strict point de vue technologique et pour faire sauter les barrières de l’investissement, difficile de ne pas apprécier l’innovation du trading social.
Mais quels résultats espérer ?
Pour revenir à Richardstroud, après une année 2018 difficile, ceux-ci impressionnent jusqu’à décembre 2020, au moment d’écrire cet article.

Les performances passées ne sont pas un indicateur des résultats futurs. L’historique de trading présenté a moins de 5 ans et n’est pas suffisant pour servir de base à une décision d’investissement.
La beauté du trading social est qu’il est possible de fouiner afin de trouver des explications rationnelles à ces belles performances.
Tout d’abord, un point à mettre à l’actif de Richardstroud est que sa gestion du risque paraît contenue, comme le montre le graphique suivant pour l’année 2020 :

Ici, eToro reprend à son compte un système de notation qui fait référence dans l’industrie financière, avec une classification des risques sur une échelle de 7.
Une information importante, car sans mise en perspective d’une performance avec le degré de risque associé, il est impossible de se former un avis.
En effet, pour donner un exemple extrême, obtenir un rendement annuel de 10% avec un risque de 1 est exceptionnel, tandis que ce même rendement avec un risque de 7 est beaucoup plus banal.
En d’autres termes, avec un risque de 7, un simple petit de chance suffit pour obtenir 10% tandis qu’avec un risque de 1, le travail et le talent sont indispensables.
Mais quel est donc le secret de Richardstroud ?
Pour cela, il faut analyser la composition de son portefeuille.
On apprend ainsi que les actions et les trackers ont ses faveurs, avec une petite poche de cryptomonnaies :

En cherchant plus dans le détail, voici ses meilleurs “coups” :

Dans une année 2020 dominée par le coronavirus et les élections américaines, on observe qu’il a eu l’intelligence de miser sur le VIX, c’est-à-dire la mesure de volatilité.
Or, les variations ont rarement été aussi fortes sur une seule année !
De plus, la poussée du bitcoin sur les derniers mois de l’année n’est certainement pas étrangère à ses bons résultats.
Bref, nous avons sous les yeux la stratégie d’un trader qui a correctement lu le marché en 2020.
Mais comme indiqué dans l’onglet “performance”, les performances passées ne sont pas annonciatrices des prochaines.

En tout cas, si vous souhaitez en savoir encore plus sur la stratégie de Richardstrout, le détail de son portefeuille est également disponible à portée de clic.
Voici un extrait :

Mais qu’est-ce qui cloche avec le trading social ?
De la manière dont nous avons présenté le travail de Richardstroud, avouez qu’au premier abord, le trading social est particulièrement séduisant !
Toutefois, cette façon de démocratiser le trading ne doit pas faire oublier qu’il s’agit d’une discipline exigeante et risquée.
Or, sans un minimum de formation, il est tout à fait possible de tomber dans des pièges.
Prenons l’exemple de Maksinvest, présent également sur la page d’accueil :
Les performances passées ne sont pas un indicateur des résultats futurs.
Nous observons qu’il est arrivé sur la plateforme en mars 2020, juste après le krach du coronavirus de février 2020.
Voici ses performances pour l’année :
Les performances passées ne sont pas un indicateur des résultats futurs.
Si celles-ci sont très élevées, elles sont en ligne avec du rebond constaté post-covid, notamment sur le Nasdaq 100, l’indice des valeurs technologiques américaines.
Les performances passées ne sont pas un indicateur des résultats futurs.
A première vue, Maksinvest a donc réussi à prendre le train en marche, et bravo à lui !
Or, si nous pouvons nous réjouir pour son portefeuille, quelles étaient les probabilités pour qu’un trader amateur lui fasse en confiance en mars 2020, c’est-à-dire au meilleur moment ?
Naturellement, ces probabilités étaient nulles, puisqu’à cette époque, Maksinvest n’était qu’un illustre inconnu sur la plateforme, sans historique de trading.
En réalité, son succès “populaire” n’est intervenu que bien après, au mois de décembre 2020, au moment de sa mise en avant sur la page d’accueil :

Et c’est bien là le coeur du problème.
Si le trading social met en avant les meilleures performances passées, il ne fournit pas la machine à remonter le temps pour en profiter.
Bien entendu, rien ne dit que la belle histoire de Makinvest ne va pas continuer.
Mais la froide réalité du trading est que même pour des fonds d’investissement professionnels possédant des dizaines de collaborateurs et des outils très sophistiqués, il est très difficile de battre le marché.
Prenons un exemple.
Pour 10 fonds dont l’objectif est de battre l’indice CAC 40 une année donnée, il est statistiquement admis que 9 n’y arriveront pas ! Dans ces conditions, n’évoquons même pas la possibilité de faire mieux tous les ans…
Il s’agit donc d’une froide réalité qui s’applique dans sa globalité aussi bien aux professionnels qu’aux amateurs.
Pourtant, cette information importante ne bénéficie généralement que de très peu de publicité…
Et à ce petit jeu, eToro n’est donc pas certainement pas plus à blâmer que les banques ou toutes autres institutions financières proposant des fonds d’investissement.
Toutefois, il est vrai que le marketing du courtier peut être considéré comme trop agressif.

Par exemple, à la vue de ce type de graphique, il est facile de penser que ce type de rendement est facile à obtenir en copiant les meilleurs traders de la plateforme.
Or, comme nous avons vu, si nous connaissons les 50 meilleurs de l’année écoulée, les 50 meilleurs de l’année prochaine restent à déterminer.
A ce petit jeu, choisir le bon trader sur lequel miser n’est pas plus facile de sélectionner une bonne action… De quoi mettre un peu de perspective !
Nous reviendrons en détail plus bas sur les forces et faiblesses du trading social, mais pour l’instant, il est temps de comprendre toute la mécanique du trading social.
Investissement fractionné
Notons au passage qu’eToro se démarque une nouvelle fois technologiquement avec l’investissement fractionné.
Par exemple, si un popular investor achète 3 actions Amazon à 3 000$ l’unité, le copieur va également augmenter son exposition à Amazon, et cela même si son investissement total n’est que de 1 000$. Dans ce cas, son portefeuille ne comportera qu’une fraction des actions Amazon.
Les coulisses du trading social
D’un point de vue marketing, le trading social est proche d’être une idée de génie.
Tout d’abord, en étant pratiquement la seule plateforme à le proposer, eToro se dote d’un positionnement unique, dans un marché où le nombre de courtiers CFD peut donner le tournis.
Autre valeur ajoutée, le trading social est une fonctionnalité susceptible de plaire à un large public, pas nécessairement expérimenté. Une manière de rendre le trading plus accessible et donc d’augmenter les chiffres de recrutement de nouveaux clients.
Enfin, le trading social permet également de garder les clients engagés plus longtemps, dans la mesure où pour profiter des performances des popular investors, l’horizon d’investissement conseillé est au minimum de quelques mois. Autant d’opportunités supplémentaires de trader sur d’autres produits à chaque connexion…
De plus, si copier un portefeuille ne comporte pas de frais supplémentaires, toutes les transactions effectuées par le “popular investor” sont dupliquées dans le portefeuille du copieur, frais compris.
Ainsi, même si le trader ne prend pas de décisions actives, il continue de générer des transactions.
Fort heureusement, si eToro a pu par le passé avoir des tarifs très élevés, ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui, avec notamment la possibilité de trader les actions sans commission.
Pour toutes ces raisons, l‘intérêt du trading social ne fait donc aucun doute pour eToro.
Mais avant de vous livrer notre avis concernant le trading social pour les particuliers, intéressons-nous aux “popular investors” qui acceptent de se faire copier.

En effet, quel est leur intérêt ?
Comme vous vous en doutez, l’argent est la récompense recherchée.
Et cela paraît tout à fait logique : puisque eToro augmente son volume d’activité grâce aux popular investor, il est normal que ceux-ci retirent une partie des bénéfices.
D’ailleurs, pour que le système fonctionne, il est intéressant de noter qu’il est réellement dans l’intérêt d’eToro de ne sélectionner que les meilleurs traders dans ce programme.
En effet, l’équation est très simple : plus les performances sont positives et durables et plus eToro peut empocher des commissions grâce au nombre plus élevé de transactions effectuées sur la plateforme.
Ainsi, dans un monde parfait, tout le monde est gagnant !
Pour cette raison, et même si le programme Popular Investor fait partie des arguments de vente pour rejoindre eToro, seuls les traders les plus motivés ont réellement une chance d’y accéder, à condition de respecter plusieurs critères comme l’historique de trading, le montant investi ou le niveau de risque appliqué.
Toutefois, l’acceptation au programme ne se fait à qu’à partir d’un niveau “cadet” qui n’apporte que très peu d’avantages, si ce n’est la possibilité de commencer à se faire copier.
Ensuite, l’objectif est de franchir les étapes pour atteindre les grades Champion, Elite et Elite Pro, où les récompenses sont beaucoup plus concrètes.
Pour cela, le critère le plus important est celui de l’actif sous gestion (AUM ou Asset Under Management en anglais) ou plus prosaïquement, le montant total copié.
Plus un trader est copié et plus il reçoit une rémunération élevée supplémentaire à ses gains de trading.
Or, pour être copié et augmenter cet AUM, il va sans dire que le critère scruté de toute part est la performance du portefeuille, si possible au minimum à deux chiffres.
Voici le tableau des récompenses (et au passage on apprécie la transparence du programme):

Par exemple, avec un statut Elite et un AUM de 500 000$, les popular investors reçoivent chaque mois au moins 1,50% de ce montant, soit l’équivalent 7 500$. Plutôt pas mal !
Et cela ne prend pas en compte des avantages divers, comme des invitations VIP à des évènements ou un abonnement gratuit au Financial Times.
Finalement, quand on se place dans la peau d’un popular investors, l’objectif est d’initier un cercle vertueux de la manière suivante :
- Des performances positives pour attirer l’attention et des premiers copieurs
- L’apport de ces copieurs est remarqué et le popular investor bénéfice alors de plus de publicité dans la plateforme (mise en avant sur la page d’accueil, etc…)
- Grâce à cette publicité, de nouveaux copieurs arrivent, et ainsi de suite…
Une belle mécanique où la stabilité des résultats joue un rôle prépondérant.
Rappelez-vous le popular investor Marksinvest et sa courbe de nouveaux copieurs pour l’année 2020 :

Celle-ci est pour le moins brutale et coïncide à n’en pas douter avec une mise en avant.
Toutefois, fonds d’investissement traditionnels ou amateurs éclairés de trading, les lois fondamentales de la discipline restent identiques et garder un tel niveau de performance sur plusieurs mois paraît mission impossible.
Ainsi, du fait de la “durée de vie” relativement réduite des popular investors, on imagine aisément qu’il existe une vraie rotation des populars investors mis en avant.
Au final, le risque pour les particuliers est de faire confiance à des “”étoiles filantes” du trading, dont la stratégie repose sur un niveau de risque élevé afin de bénéficier des faveurs de la plateforme en cas de stratégie qui se révèle gagnante. Or, nous avons vu que lorsqu’un trader affiche des gains élevés, il est probablement déjà trop tard pour le copier…
Bien entendu, il est dans l’intérêt d’eToro de limiter ce phénomène et c’est pourquoi le niveau de risque est contrôlé. Cependant, celui-ci ne doit pas dépasser 6 sur une échelle de 7, ce qui peut paraître toujours élevé, même si par nature le trading est risqué.
Conclusion : le trading social s’adresse aux traders responsables
Forces | Faiblesses |
---|---|
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Copier les meilleurs traders en un clic pour gagner sans rien faire ?
Malheureusement, pour un trader débutant qui ne possède pas les codes du métier, cette promesse “cachée” du trading social est d’une logique implacable.
Pourtant, dans la réalité, choisir le bon trader sur lequel parier est tout aussi difficile que de sélectionner une action qui prendra de la valeur.
Dans ce sens, la mauvaise réputation du trading social est justifiée, car la déception de ne pas gagner 10% tous les mois a toutes les chances de se matérialiser…
Pourquoi ne pas simplement mettre des messages d’éducation sur toutes les performances affichées, à la manière de la publicité pour les produits financiers “classiques” ?
Cela permettrait de désamorcer bien des ambigüités…
Et de parler des aspects positifs du trading social, trop souvent relégués au second plan.
Car oui, il y en a !
Tout d’abord, il faut comprendre que d’une manière générale, les popular investors ne sont pas les perdreaux de l’année.
Traduction : à partir du deuxième niveau “Champion”, nous avons affaire à des personnes dont le trading peut être l’activité principale.
En toute probabilité, les popular investor ont donc toutes les chances d’être de meilleurs traders que des nouveaux clients.
Ainsi, pour un trader débutant, avoir la possibilité de consulter leurs portefeuilles gratuitement à tout moment est une mine d’information indéniable.
En effet, le trading étant une activité globalement solitaire avec autant de stratégie qu’il existe de traders, cette plongée dans leur monde est une occasion unique d’analyser et de confronter ses propres idées à volonté.
Et il ne s’agit pas seulement d’une vision statique à un moment donné.
En permettant de consulter l’historique des positions depuis un an et de suivre les prochaines (ou bien entendu de les copier), un trader débutant motivé a sous les yeux des exemples concrets pour affiner sa stratégie :
- Quelle est la fréquence de trading ?
- Combien de lignes ?
- Quelle exposition accorder au maximum à chaque ligne ? A chaque classe d’actif ?
- Quels réajustements en fonction d’un évènement fort, par rapport les élections américaines ?
- Etc…
Et grâce au fonctionnement intrinsèque d’un réseau social, chaque popular investor a la possibilité d’interagir avec sa communauté, ce qui peut être l’occasion d’échanges intéressants.
Dans ces conditions, l’innovation technologique du trading social est une vraie plus-value.
Mais cette vision constructive ne doit pas faire abstraction d’un des principaux maux de notre société, à savoir celui de la recherche d’argent facile.
Une quête impossible qui ne fait que des victimes…
Or, quelle serait la réaction des traders débutants en face de performances plus réalistes et plus durables, par exemple de 5% de par an ? (ce qui reste très bien avec un risque réduit !)
Probablement pas le meilleur moyen de faire chavirer les foules…
C’est pourquoi, au final, nous pensons que le trading social doit être réservé à un public de traders en phase d’apprentissage et surtout avec une motivation sans faille.
Par contre, pour un particulier qui conçoit le trading plutôt comme un jeu d’argent, il y a fort à parier qu’après l’excitation de la découverte, celui-ci risque de désenchanter quand il se rendra compte que les résultats ne sont pas au rendez-vous, tout du moins tels qu’annoncés.
Morale de l’histoire ? Trader est un métier et le trading social est un outil très intéressant pour ceux sont dans une logique d’apprentissage.
Par contre, pour les débutants sans autre motivation que l’appât du gain, la déception sera très probablement au rendez-vous.

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Les résultats passés ne sont pas une indication des performances futures. L'historique des performances présenté est inférieur à 5 ans et peut ne pas constituer une base suffisante pour prendre une décision d'investissement.
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Article écrit par Emilien FRANCOISE
Emilien FRANCOISE est le fondateur de Nextbanq, site de référence dans l'univers des finances personnelles.
Titulaire d'un diplôme de grande école de commerce, il écrit des contenus indépendants à temps plein depuis 2007 avec l'ambition d'aider tous les lecteurs à améliorer leur pouvoir d'achat.
